Klosters Music - Grands paysages

Il y a une scène près du ruisseau, un orage et un chant de berger. La 6e Symphonie de Ludwig van Beethoven avec l’épithète « Pastorale » emmène l’auditeur à l’extérieur, même si pour le compositeur lui-même sa musique signifiait « plus expression du sentiment que peinture » : la nature comme miroir de l’âme. La Deutsche Kammerphilharmonie Bremen a reçu de nombreux éloges pour son enregistrement complet de toutes les symphonies de Beethoven. Ce soir-là, le jeune Finlandais Tarmo Peltokoski sera le premier chef invité du grand orchestre, qui raconte l’eau, le vent et la légendaire grotte des Fingals avec l’ouverture de concert « Les Hébrides » de Felix Mendelssohn Bartholdy. Andreas Ottensamer, clarinettiste solo du Berliner Philharmoniker, découvre l’immensité des paysages musicaux dans le Concerto pour clarinette de Wolfgang Amadeus Mozart, en particulier dans le séduisant Adagio.

Andreas Ottensamer, clarinette
Tarmo Peltokoski, chef d’orchestre
La Deutsche Kammerphilharmonie Bremen

Felix Mendelssohn Bartholdy (1809-1847)
Ouverture de concert « Les Hébrides », op. 26

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791)
Concerto pour clarinette et orchestre en la majeur, KV 622

Pause

Ludwig van Beethoven (1770-1827)
Symphonie n° 6 en fa majeur « Pastorale », op. 68